Moi, Tadeusz KantorJa, Tadeusz Kantor
Wyd. K-Films Editiones, Paryż 2001
Ze wstępu
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On écrit beaucoup sur la relations de l’artiste à son art et à sa vie. On conçoit des études inspirées et perspicaces. On crée des mythologies. On entretient des hypotheses de pure fiction. Dans les médias, la place accordées aux faits divers ne cesse d’augmentier. On raconte beaucoup de bétises.
Mais, ce gu’il de plus curieux, c’est quand tous ces écrits se mêlent et patfaitement qu’il deviant difficile de discener le fait réel du ragot, la vraie decouverte de la fiction, l’analyse du préjudgé.
Et tout cela deviant fascinant lorsque l’artiste traite se vie son art comme une unite indissoluble, lorsque les differences entre la creation et la quotidian s’effacent, lorsque de nombreux enevements propres à sa vie sont integres a son art don’t ils font batter le pouls, et qu’il essaie des procédés proprement artistiques pour resoundre ses problémes quotidiens. (…)
I’ai vécu de nombreuses méthamorphoses kantoriennes. Je n’en ai choisi que qu’elles se derculent principalement à Paris resulte du choix même de Kantor. Il aimait particulièrement cette ville. C’est ici que, juste après is guerre, il reçu la reconnaissance international en tant que premier peintre venant de l’autre Ĉoté du «Rideau de fer» Kantor aimait Paris, le connaissait, le chérissaint. Et l’idealisait. Tout comme Cracovie et Wielopole. Voila porquoi, c’est ici qu’il s’est complétement? Sans aucun préjudgé.
Kazik HENTCHEL: En guise d’introduction. Preface, Les Metamorhoses de Moi, Tadeusz Kantor, Paryż 2001, s. 7, 9
Nota prasowa [fragment]
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Barwne, anegdotycznie potraktowane opowieści o podróżach autora z Teatrem Cricot2 i kontaktach z jego twórcą, uzupełnione zostały rysunkami Serge’a Kantorowicza. [zob. poniżej]
Książkę tłumaczyli Sara Authesserre, Daniel Lusina, Marie Stolinski oraz Kazik Hentchel, pomysłodawca wydania, znany we Francji powieściopisarz, którego fascynacja filmem [wieloletnia praktyka krytyka filmowego w Polsce], nakazała mu prowadzić paryskie, awangardowe kino „Accatone”. Hentchel we wstępie przypomina dokonania twórcze Kantora.
Janusz R. KOWALCZYK, Ja, Tadeusz Kantor [nadtytuł:] Książka. Krzysztof Miklaszewski o twórcy Teatru Cricot2 po angielsku, francusku i hiszpańsku, „Rzeczpospolita”, nr 2, KULTURA, z 3 stycznia 2003, s. 13
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Galeria szkiców Serge’a Kantorowicza